À propos
Pousser les murs, ouvrir les portes et les fenêtres de nos espaces habituels, pour laisser entrer un grand bol d’air frais, ouvrir les yeux vers de nouveaux horizons et aller les visiter.
Antoine de Saint-Exupéry
C’est quoi ?
J’aide à ouvrir des voies qui, même si elles sont parfois ressenties comme inconfortables au départ, s’avèrent riches à l’arrivée.
Ce que je mets dans
“mon sac à dos d’accompagnatrice”
Le voyage apprenant : pour favoriser ces ouvertures, je m’appuie sur le dessin, que je pratique depuis l’enfance. Je suis d’abord facilitatrice graphique et j’utilise la pensée visuelle pour structurer mes accompagnements – même lorsqu’ils abordent des questions opérationnelles et stratégiques : je crée ainsi l’opportunité de « voyages imaginaires » par le biais de métaphores, et j’utilise la projection par l’image pour faire vivre une expérience marquante au-delà d’une réflexion.
L’ancrage par le corps : convaincue que le corps sait avant la tête, j’intègre des approches corporelles et systémiques dans les réflexions pour aider à prendre conscience de ce vers quoi aller.
La reconnexion au Vivant : biologiste de formation, ce qui m’anime est la reconnexion au Vivant, et l’art de cultiver le vivant en nous, dans nos relations aux autres et autour de nous. Mon travail repose donc aussi sur notre rapport au Vivant.
L’un de mes maître-mots est d’OSER
● Oser les voyages dans l’incertitude et la complexité de nos
situations
● Oser les « entre deux », les passages des « avant » vers les « après »
● Oser la mise en mouvements et en matière
● Oser les zones lisière entre le méta du monde, le macro du groupe et le micro de l’individu
● Oser les changements de regard et de posture, pour réapprendre à (se) voir et s’émerveiller
● Oser la conjugaison de la diversité, de toutes nos couleurs dans une mosaïque chatoyante
● Oser cultiver le vivant des vivants : la joie !
Mon second maître-mot est CHEMINER
D’abord, rêver le chemin et ce lointain ;
Se laisser appeler et happer par une envie plus grande que soi ;
Malgré la peur, se lancer ;
Lâcher prise sur le connu et aller vers l’inconnu ;
Dessiner le cap vers lequel on veut porter ses pas, sans pour autant savoir encore comment le rejoindre ;
Lâcher prise sur le but, au profit du chemin, tout en sachant que sans but, il n’y a pas de chemin ;
Avoir une étoile, la suivre, y croire très fort, ne plus la quitter ni des yeux ni du cœur, et accepter que pour la rejoindre, il faudra désapprendre pour réapprendre autrement ;
Transcender la peur en espérance ;
Mettre en branle son laboratoire extérieur et expérimenter ;
Avoir grand ouvert son oratoire intérieur pour observer, ressentir, (s’)écouter, (se) comprendre, (se) parler ;
Apprivoiser l’incertitude, (s’)entraider, renouer avec le « rien n’est jamais acquis », et son corollaire, « tout reste possible » ;
Avancer et dessiner le chemin en marchant ;
Rejoindre ce but que l’on s’était donné, prendre conscience qu’il n’a du sens que parce qu’on a parcouru le chemin… ;
Revisiter le chemin en mémoire, le revivre, continuer de le nourrir par l’imagination et les souvenirs ;
Et finalement, se rendre compte qu’il prélude à d’autres départs et à de nouveaux rêves ;
Repartir…
